France – Dépakine – 40 000 victimes : et maintenant, quel accompagnement ?

« Les handicaps provoqués par la Dépakine auraient pu être évités. Au-delà du débat indispensable sur les responsabilités, que faire maintenant ? Comment accompagner les enfants concernés et protéger les femmes enceintes ? Le point avec Hubert Journel, généticien au Centre Hospitalier de Vannes. Prescrit depuis 1967, la Dépakine (acide valproà¯que) est le plus tératogène…
« Les handicaps provoqués par la Dépakine auraient pu être évités. Au-delà du débat indispensable sur les responsabilités, que faire maintenant ? Comment accompagner les enfants concernés et protéger les femmes enceintes ? Le point avec Hubert Journel, généticien au Centre Hospitalier de Vannes.
Prescrit depuis 1967, la Dépakine (acide valproà¯que) est le plus tératogène des anticonvulsivants, c’est-à -dire le plus susceptible d’entraÎner des malformations et handicaps chez les enfants exposés. D’autres traitements de l’épilepsie ou prescrits pour les troubles bipolaires sont aussi à risque pour les femmes enceintes. Questions à Hubert Journel, généticien au CH de Vannes et responsable du conseil scientifique de l’association Apesac (Association française d’Aide aux Parents d’Enfants souffrant du Syndrome de l’Anti-Convulsivant) …»
– Combien de femmes et d’enfants sont concernés (en France) et combien risquent de l’être encore ?
– Quelles sont les conséquences possibles de la prise d’un anticonvulsivant chez les femmes enceintes ?
– Savoir qu’un traitement anticonvulsivant est responsable du handicap de son enfant, ça change quoi ?
>>> Lire les réponses d’Hubert Journel sur le site du Magazine Déclic
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